Le monde de la technologie évolue à toute vitesse. Les connaissances scientifiques reçu au cours de notre formation scientifique, nous permet de développer des savoirs dans plusieurs domaines, comme la robotique, l’aéronautique, etc. De ce fait, autant que les gens craignent l’impact de ces savoirs académiques, la possibilité de la perdre pourrait être encore plus effrayante. La peur de la technologie existe depuis aussi longtemps que la technologie elle-même, et comme la technologie elle-même, cette peur est en constante évolution.
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Il existe des preuves de technophobie et cette maladie est partout dans le monde. Les Américains ont plus peur de la technologie que de la mort, suggèrent des recherches menées en 2019. Plus précisément, ils craignent ce que la technologie fera à l’avenir. Certaines peurs technologiques sont rationnelles et viscérales ; comme une personne qui vous espionne via votre webcam ou votre haut-parleur intelligent vous espionnant et d’autres sont d’une forme plus générale.
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Au cours d’un cursus en sciences et technologies et l’obtention de votre baccalauréat technologique ; le savoir technologique reçu dans les grandes écoles ou faculté des sciences permet aux étudiants de créer un produit technologique qui faire avancer la technologie. Dans le passé, les gens craignaient que la technologie ne les éloigne de leur « vrai » moi. Aujourd’hui, nous craignons que la technologie soit trop humaine.
La technologie comme anti-humain
Les poètes romantiques ont peut-être formulé la première critique sophistiquée de l’impact de la technologie sur le monde. Cela peut sembler une histoire ancienne, mais regarder ce que craignaient ces poètes peut nous donner une idée précieuse de la façon dont les gens craignent aujourd’hui les sciences et techniques.
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Les romantiques pensaient en particulier que l’évolution scientifique et technologique pourrait détruire « la véritable essence » de l’homme. Les industries technologiques et les usines ont poussé les gens loin des champs et les ont obligés à travailler de longues heures sur les lignes de production. En bref, les technologies digitales forçaient les humains à devenir eux-mêmes des machines.
On craignait également que les high tech ne soient trop efficaces et qu’elles rendent les humains obsolètes. Prenons, par exemple, l’expérience de pensée philosophique proposée par le professeur Nick Bostrom d’Oxford. Il nous invite à imaginer une société de trombones qui crée une super intelligence artificielle et la charge avec le seul objectif de fabriquer autant de trombones que possible. Le stock de la société monte en flèche et l’humanité entre dans l’âge d’or du trombone.
Puis quelque chose d’inattendu se produit. L’intelligence artificielle étudie les ressources naturelles nécessaires à la survie et décide qu’elles pourraient grandement contribuer à la fabrication de trombones. Il consomme ces ressources dans le but de remplir sa principale directive, « fabriquer autant de trombones que possible », éliminant ainsi l’humanité tout au long du processus. La crainte est que les technologies de l’information seront une force intrinsèquement anti-humaine et finira par nous anéantir.
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La technologie aussi humaine
À mesure que la technologie s’est développée, nos peurs ont également évolué. Aujourd’hui, la plupart d’entre nous craignons la technologie pour une autre raison. Au lieu que les nouvelles technologies soient anti-humaines et nous éliminent en tant qu’espèce, nous craignons qu’elles ne soient trop humaines et trop douces pour nous imiter en tant qu’espèce.
Ce type de peur est à l’origine de l’effet troublant de » vallée mystérieuse » associé à des IA et des robots réalistes. Il est tentant d’annuler ce type de crainte comme étant le produit de valeurs naïves ou dépassées, mais ce serait une erreur. Même ceux qui se trouvent à la pointe de la révolution de l’IA s’inquiètent du fait que les startups pourraient bientôt devenir meilleures que les humains eux-mêmes.
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Selon une étude du McKinsey Global Institute, près de 70 millions de personnes pourraient perdre leur emploi du fait de l’automatisation d’ici 2030, nécessitant une reconfiguration complète de l’économie mondiale. Ce qui est encore plus alarmant, c’est que beaucoup des outils d’IA que nous utilisons aujourd’hui ; sont le produit direct de la recherche militaire et ont été développés avec l’armement à l’esprit. Certains experts ont finalement avancé que l’IA pourrait automatiser le terrorisme, produire une masse de propagande et rationaliser le piratage pour en faire des effets dévastateurs.
Il n’est pas étonnant que les citoyens s’inquiètent déjà pour les drones hostiles.
En bref, notre peur de la technologie, aujourd’hui, est légèrement différente de celle du passé. Plutôt que de craindre que la recherche scientifique nous élimine, nombreux sont ceux qui craignent maintenant que la science et technologie remplace les humains.
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Mais que se passe-t-il s’ils s’arrêtent ?
Ce dernier point rend compte de quelque chose qui est souvent négligé quand on parle de peur de la culture générale scientifique. À bien des égards, la recherche et développement des technologies que nous utilisons sont devenues près qu’humaine et nous comptons sur elles à un degré sans précédent. Dans ce contexte, « la peur de la technologie » devient quelque chose qui ressemble davantage à « la peur de nous-mêmes ».
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Prenons, par exemple, la peur très moderne que les entreprises de technologie nous exploitent et que le gouvernement nous surveille. Alors qu’une majorité de personnes s’oppose à ce type de surveillance, la plupart d’entre nous dépendent en réalité totalement des objets connectés comme le smartphone pliable créé par des sociétés de technologie et des réseaux de téléphonie mobile supervisés par les gouvernements.
En fait, la plupart d’entre nous nous précipitons vers la commodité de cette génie industriel et cherchent de plus en plus à confier nos tâches quotidiennes au techniques industriels. En matière de service client moderne, les chatbots parlent pour nous. Vous voulez une présence en ligne ? Vous n’avez peut-être plus besoin d’un concepteur de sites Web, car les meilleurs constructeurs de sites Web utilisent plusieurs algorithmes d’intelligence artificielle qui fonctionnent pour permettre aux concepteurs humains de sortir du marché. Finalement, peut-être qu’avec de telle innovation technologique, pourrai nous rendre immortels.
Forster imagine un monde dans lequel tout le monde est totalement dépendant de la technologie. Dans l’histoire, les citoyens du monde de Forster sont libérés de leur quotidien et finissent par trouver un moyen de vivre sans technologie. C’est peut-être l’ironie de la technophobie aujourd’hui. Nous craignons davantage les technologies qui nous entourent, mais aussi leur absence.
Une éducation orientée vers le futur
En classe de terminale, nous avons des projets innovants dans le monde du numérique, puis que le conseil scientifique, propose une technologie au collège. Avec votre bac stg (sciences et société), vous avez votre projet professionnel en place pour révolutionner soit le monde de l’agronomie, de la biochimie, des froids ou avoir des laboratoires de recherche les écosystèmes. Il est souhaitable, que cette promotion des sciences à l’université paris ou à l’université de montpellier ; pour faire sortir des titulaires en techniques industrielles soit accompagné aussi des sciences humaines.
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Les secteurs scientifiques et techniques ont plusieurs débouchés pour celui qui envisage de faire de l’entrepreneuriat. C’est très facile pour l’ingénieur en informatique de créer son entreprise, même en année de licence à la fake ou dans une école national polytechnique. Les responsables administratifs facilitent l’obtention du crédit mutuel pour les ingénieurs de génie civil.
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En ce qui concerne les technologies, nous avons le choix multiple. Nous pouvons décider de poursuivre une éducation dans l’agroalimentaire, les télécommunications, en ingénierie, l’information, dans la biotechnologie, etc. Tous ces savoirs peuvent nous permettre de vivre mieux, mais peuvent aussi être aussi inquiétantes. Avoir sa licence sciences et technologies ou son master en sciences voir son doctorat ; peu lui permettre de créer la fibre optique innovante et ouvre aussi les porte des métiers de l’enseignement. Cependant, certains courants anarchistes peuvent influencer négativement cette connaissance ; d’où la peur compréhensive de beau nombre de personnes. Il nous faut donc une veille technologique, pour ne pas prendre cette connaissance pour la création des armes nucléaires.